Tirant son nom d'un roman de Camus, cette œuvre traite de l'acceptation de la perte. Une transition éternelle : de la vie à la mort, de l'ombre à la lumière.

Ce qui pousse à l'exil : la violence sociale, le manque de liberté, le désespoir.

Les actes que l'on enfouit au plus profond de soi, ce que l'on a fait ou dont on a été témoin impuissant, mais aussi la lumière de l'enfance, vive, irréductible.

Le désastre a déjà eu lieu - complet, irrémédiable,

Mais vraiment, ça n'a pas d'importance.